Si vous suivez de près l’actualité
fréjusienne, vous n’êtes probablement pas dans l’ignorance de l’enquête
publique ouverte depuis quelques jours pour la modification du PLU de la
Base nature. Un sujet d’importance puisque l’objectif de la
municipalité est la transformation d’une zone UHa, c’est-à-dire dédiée à
l’installation de services publics – d’intérêt collectif donc – en zone
UBo, c’est-à-dire ouverte à une urbanisation dense. Voilà pour la mise
en bouche. Quel devenir pour la Base ?
David
Rachline, depuis fort longtemps, exprime son souhait de voir les
services techniques quitter les lieux pour se rapprocher du
centre-ville. Une question de cohérence à ses yeux d’autant que, de sa
propre interprétation, cela permettrait aussi de redynamiser le centre
historique si, d’aventure, lesdits services et ceux qui en assurent le
fonctionnement se voyaient regroupés à proximité de la mairie. Et sur ce
plan on ne peut lui donner tort. Mais se pose la question du devenir de
la Base nature après ce transfert.
Une interrogation à laquelle
Richard Sert répond d’emblée, non pas à la presse qu’il ne fréquente
plus, mais sur le site de la ville. Pour l’adjoint à l’urbanisme, l’idée
est "d’implanter sur place un équipement touristique et un équipement
lié aux métiers de la mer."
Un projet un peu vague tout de même,
comme celui de la place de la République d’ailleurs, qui aujourd’hui,
soulève localement un nouveau mouvement de contestation. L’opposante
Françoise Cauwel, et derrière elle toute l’opposition fréjusienne, lance
ainsi un cri d’alarme. "Que cherche-t-on à faire ? Un bétonnage
massif, comme dans les Alpes-Maritimes ? Que cache ce changement de
zone? Actuellement, à l’endroit visé, 32 000 m² sont construits. La Ville pourra aller jusqu’à 40 000 m², ce qui équivaut à 600 logements, soit Port-Fréjus Nord."
L’ex-conseillère générale du canton pointe également du doigt le problème environnemental. "On
pourra aller jusqu’à du R+3 ce qui, au niveau du toit, représente une
hauteur de 17,50 m. Et puis avec ce projet, on se dirige vers la
privatisation de la Base nature." Un collectif en cours de création
Françoise Cauwel note aussi l’absence de clarté de la municipalité : "L’enquête
publique, comme par hasard, a lieu en été à un moment où les Fréjusiens
ont peut-être d’autres préoccupations en tête. Je relève qu’il n’est
pas prévu de réunion d’information ni d’échanges (dans le cadre de l’enquête publique, Ndlr).
Qu’aucun plan de masse n’est proposé, de sorte que l’on ne sait pas où
seront situées les futures constructions. Et que le sous-préfet,
lui-même, a déjà émis des réserves en demandant des explications un peu
plus précises."
Elle lance une idée, qui est un renvoi de balle au maire de Fréjus : "Lui
qui désirait tant organiser un référendum pour la mosquée, voilà
l’occasion rêvée d’interroger les Fréjusiens. Oui : posons leur la
question directement quant à la destination qu’ils souhaitent pour ce
secteur." En attendant d’y voir un peu plus clair donc sur ce
projet (au fait, quid de la boîte de nuit dont David Rachline avait
lancé l’idée en conseil municipal ?, Ndlr), un collectif intitulé
"Touche pas à ma Base" est en cours de création.
Françoise Cauwel
incite aussi tous les Fréjusiens à aller déposer leurs remarques en
mairie auprès du commissaire enquêteur et ce, jusqu’au 18 juillet.
"Comme on ignore réellement ce que la municipalité a en tête, il n’est
pas question de lui signer un blanc-seing." Têtue, l’élue d’opposition !
Dans cet article de "capital", on voit qui travaille a l'assemblée. A savoir essentiellement les députes insoumis. quant aux élus varois .... cherchez les dans le classement, mais pas en haut, plutôt en bas du tableau....
LES DÉPUTÉS D'EN MARCHE, CANCRES DE L’ASSEMBLÉE… NOTRE CLASSEMENT
PUBLIÉ LE MIS À JOUR LE
Six mois après les élections législatives, quel bilan peut-on tirer de l’activité des nouveaux députés ? Capital fait le point sur la productivité de chacun des 572 locataires du palais Bourbon. Les résultats sont surprenants...
“A Noël il va y avoir beaucoup d'ultimatum familiaux, genre si tu y retournes je te quitte.” Le député LREM Bruno Bonnell qui se plaint dans L’Opinion de la surcharge de travail dont sont victimes les troupes de Macron à l’Assemblée? On se pince pour ne pas sourire ! Car d’après notre radioscopie des six premiers mois de la nouvelle législature, les députés En Marche sont en vérité loin d’avoir été les plus assidus aux travaux parlementaires. En moyenne, comme le montre notre tableau ci-dessous, les Marcheurs se révèlent beaucoup moins travailleurs que les députés Républicains, socialistes et de la France insoumise, de loin les plus bosseurs de notre classement. Quant au député Bruno Bonnell (fondateur d'Infogrames) précisément… il se classe avant avant dernier de notre palmarès.
Pour évaluer nos députés, nous nous sommes plongés dans la formidable collecte de données de l’association Regards Citoyensqui durant six mois a soigneusement pointé les travaux des parlementaires. Puis, comme nous l’avions fait pour classer l’activité des députés de la dernière législature, nous avons noté chaque parlementaire sur la base de différents critères précis : le nombre de présences et d’interventions en commission, le nombre d’interventions dans l’hémicycle, le nombre d’amendements proposés. Nous avons arrêté nos données au lundi 18 décembre, six mois pile après le second tour des élections législatives.
Nous avons ensuite attribué à chaque député des points en fonction de son classement respectif sur chacun de ces critères (572 points pour le 1er, 571 points pour le 2e…), avec un coefficient double pour les amendements proposés, parce qu'ils exigent plus de travail. Par souci de clarté nous n’avons pas retenu trois des critères de notre dernier classement (les rapports rédigés, les propositions de loi écrites déposées, les questions orales au gouvernement) car nous les avons jugés trop peu représentatifs au bout de six mois seulement de législature.
Bonnet d'âne pour Claire O’Petit
Parmi les cancres LREM, donc : la très médiatique Claire O’Petit, qui s’était illustrée cet été en demandant aux jeunes “d’arrêter de pleurer” suite à la baisse des APL, se place en queue de notre classement. La députée de l’Eure a visiblement préféré son rôle de “Grande gueule” sur RMC à son job de parlementaire : en six mois, elle n’a totalisé que 9 présences en commission (bien-en dessous de la moyenne qui est de 30), n’a pondu aucun amendement et n’est même jamais intervenue dans l’hémicycle.
Le premier bilan d’étape de Thierry Solère, ex-LR qui vient de rejoindre les rang des Marcheurs, n’est pas non plus glorieux. Celui-ci ne compile que 3 interventions dans l’hémicycle, 3 présences en commissions et reste absent de nos autres radars… Copie également très moyenne pour le chef de file des députés LREM Richard Ferrand… qui ne figure qu’à la 435ème place sur 572 députés notés. Et que dire des prestations de Manuel Valls : l’ex-Premier ministre, apparenté LREM, s’est fait très discret ces premiers mois : aucun amendement, seulement 26 interventions en séance… soit deux fois moins que la moyenne des parlementaires !
Soyons honnête, il y a aussi des Marcheurs qui bossent. Joël Giraud, rapporteur de la commission des Finances, se hisse même en tête de notre classement. A lui-seul, le député LREM des Hautes-Alpes aligne 450 amendements, 851 interventions dans l’hémicycle, 53 présences en commissions… Même topo pour Amélie de Montchalin : cette figure montante de la majorité très active au sein de cette commission se place 7ème de notre palmarès. Bien sûr, certains pourront toujours arguer que l’analyse du projet de loi de finances les a accaparés toute la fin de l’année. C’est d’ailleurs tout naturellement, qu’Eric Woerth (LR), président de cette même commission se classe parmi les meilleurs élèves de ce début de législature. Pour autant, ils ne sont pas les seuls à faire figure de bons élèves. Ainsi, le jeune Gabriel Attal, qui deviendra porte-parole de la République en Marche en janvier prochain, tient une bonne 30ème place : 41 amendements déposés pour ce novice de 28 ans, soit deux fois mieux que la moyenne observée !
Bon bilan pour les troupes de Jean-Luc Mélenchon
N’hésitons pas non plus à délivrer des bons points, à quelques stars du palais Bourbon. Au-delà des provocations dont il nous a accoutumé, le bilan de Jean-Luc Mélenchon est loin d’être mauvais : le chef de la France insoumise affiche une note au-dessus de la moyenne. Mieux encore, ses collègues Alexis Corbière, François Ruffin et surtout Danièle Obono et Eric Coquerel se hissent respectivement aux 88ème, 74ème, 5e et 2ème places.
Du côté du PS, le très investi Boris Vallaud ressort à la 14ème place, totalisant 40 présences en commission et 283 amendements déposés ! Chez les Républicains, Gilles Carrez (48ème) et Eric Ciotti (60ème) continuent à faire le job. Au sein du Parti communiste, André Chassaigne (que nous avions élu meilleur député de France sur la dernière législature) est en perte de vitesse, à la 87ème place… Il lui reste encore un peu plus de quatre ans pour se refaire.
Les députés qui glandent... et ceux qui bossent (cliquez sur l'onglet de votre choix pour trier les colonnes)
Moyennes : Points (1534); Présences en commission (30); Interventions en commission (27) ; Interventions dans l'hémicycle (47); Amendements proposés (22).
Abréviations : LR : Les Républicains ; PS : Parti socialiste ; UDI : Union des Démocrates Indépendants ; RRDP : Groupe Radical, Républicain et Progressiste ; NI : Non Inscrits ; GDR : Gauche Démocrate et Républicaine ; Cls : classement ; Dept : Département ; Pts : Points ; Interv : Interventions longues de plus de 20 mots
Précisions méthodologiques : Dans notre tableau, les députés sont comptabilisés en fonction de leur rattachement financier aux partis politiques. Certains députés n'appartiennent pas directement au parti en question - c'est le cas notamment au PCF -, mais sont déclarés comme rattachés. Ils entrent donc en compte dans le calcul des aides publiques qui sont reversées aux partis politiques.
Par ailleurs, ce classement ne compte que 572 députés car le Conseil constitutionnel a invalidé les élections de Isabelle Muller-Quoy (LREM) le 16 novembre, de Ian Boucart (LR) et Lénaïck Adam (LREM) le 8 décembre et de Jean-Pierre Door (LR) et Joël Aviragnet (PS) le 18 décembre. Les nouveaux scrutins n'ayant pas encore eu lieu, ils n'ont pas encore été remplacés.
Cela donnerait la «UNE» suivante dans tous les journaux.
"Hier, 25 décembre, un «nouveau-né» a été trouvé dans une étable."
La police s'est rendue immédiatement sur les lieux et a fait appel au SAMU.
Un charpentier et une mineure (vraisemblablement la mère) ont été
placés en garde à vue. Ce matin très tôt, les autorités ont été avisées par un citoyen de la banlieue de Bethléem qu'une famille de S.D.F s'était installée dans son étable. À son arrivée sur les lieux, la police a découvert un nouveau-né enveloppé dans des morceaux de tissu sans précaution d'hygiène et dormant sur une litière de paille.
Le charpentier, identifié plus tard, Joseph (de Nazareth), s'est opposé à ce que les autorités emmènent l'enfant afin de le mettre en lieu sûr. Il était aidé de plusieurs bergers ainsi que de trois étrangers sans papiers. Ces trois étrangers, se présentant comme mages, ont été arrêtés. Ils sont passibles de reconstitution de secte dissoute.
Le ministère de l'Intérieur s'interroge sur l'origine de ces trois hommes probablement en route vers Calais. Le préfet a confirmé qu'ils n'avaient pas de papiers d'identité mais qu'ils détenaient de l'or ainsi que des produits suspects et illicites. Ils prétendent que Dieu leur a dit de ne pas répondre aux questions... Les produits suspects ont été envoyés en laboratoire pour analyse.
Le lieu où le nouveau-né se trouve actuellement n'a pas été communiqué.
D'après le service social en charge de l'affaire, le père avoisinerait la cinquantaine tandis que la mère n'est certainement pas majeure. On vérifie pour le moment la relation entre les deux. Mais à défaut de soupçon de pédophilie, le détournement de mineure est très suspecté...
La mère se trouve pour l'instant à l'hôpital universitaire de Bethléem pour des examens médicaux et psychiatriques. Elle prétend être encore vierge et affirme que le bébé vient de Dieu. Si son état mental le permet, elle sera mise en examen pour non-assistance à personne en danger.
La consommation de stupéfiants, probablement amenés par les trois étrangers, doit sans doute être prise en compte dans cette affaire.
Des prélèvements et des prises de sang ont d'ailleurs été faits en vue de retrouver les empreintes d'ADN nécessaires à l'enquête.
Aux dernières nouvelles on apprend que les bergers présents sur les lieux affirment avoir vu un grand homme, tout de blanc vêtu, qui leur a ordonné de se rendre à l'étable, avant de s'envoler mystérieusement. Aucune hypothèse n'est écartée, comme celle d'embarquement à bord d'un OVNI qui n'est pas à exclure… L’opposition s’est indignée que le gouvernement ne mettent pas en place les moyens de protection suffisante pour éviter que n’importe quel OVNI puisse survoler notre espace aérien. Ils demandent une enquête parlementaire. Les Verts rappellent que faire un feu de bois dans une étable est source de pollution… L’extrême gauche dénonce ce capitalisme sauvage qui augmente les loyers et empêche les familles modestes d’avoir un logement décent. Le président déclare que depuis son élection le gouvernement a ouvert de nombreuses nouvelles places d’accueils pour éviter de laisser des familles à la rue alors que son prédécesseur en avait supprimées. Une cellule de crise a été installée sous la direction du préfet Hérode, l'autorité craignant un complot dont les rumeurs avaient persisté ces derniers temps.
On pourra également suivre les images en direct sur BFM TV… et à 17h30, « C’à vous » organisera un débat sur le thème « Peut-on encore accoucher dans une étable de nos jours ? » en présence de plusieurs invités : notre confrère de Libération auteur d’une enquête sur "La rue pour toute vie ", d’un sociologue enseignant à l’Institut d’Étude Politique, spécialiste de la précarité sociale ,de l’écrivain Hugo Victor qui a écrit "Les misérables" et de M. Pilate Ponce représentant le gouvernement
Et, pour conclure, après examen médical, la fille mineure ayant effectivement été reconnue vierge, le couple a été placé en garde a vue pour rapt d'enfant.....
Samedi 13 janvier à 10h30 Place Cassin à Draguignan Nouveau cercle de silence bimestriel de Migrants Var Est De 10h30 à 12h un cercle de silence avec l’ensemble des associations et collectifs chargés de la défense des droits de l’homme et de l’accueil des demandeurs d’asile en Dracénie réunies au sein du Collectif Migrants Var Est.
Ce cercle de silence se tiendra tous les deux mois le deuxième samedi des mois impairs soit, pour 2018, les 13 janvier, 10 mars, 12 mai, 13 juillet, 8 septembre, 10 novembre.
« Les cercles de silence que nous menons sont des moyens d’informer le grand public : un travail citoyen d’autant plus urgent dans les circonstances actuelles que peu de responsables politiques s’attellent à cette tâche. C’est aussi un moment d’échanges entre nous dans le respect des diversités et d’organisation de nos actions. Nous avons besoin de savoir qui peut faire quoi.
Avec ou sans papiers, l’étranger est une personne. Nous refusons que soient appliquées, en notre nom, des décisions politiques qui broient des familles, des couples, des individus.
• démembrement de nombreuses familles,
• violation quasi quotidienne du droit de l’enfant et de sa famille,
• politique d’immigration et sort réservé aux étrangers venus chercher refuge dans notre pays.»
Des affiches, des tracts et des pétitions seront proposés au public. Une prise de parole pourra avoir lieu en fin de cercle de silence.
Je souhaitais vous faire part de grande nouvelles à propos de la pétition que j'ai signée sur Change.org, intitulée "Interdire le rejet et la dissémination des Boues Rouges en mer et à terre".
Découvrez cette mise à jour intitulée "Nicolas Hulot ne nous aidera pas" ci-dessous et soutenez à votre tour cette campagne en signant cette pétition!
"Bakhta et ses filles" d'Alima Arouali, France, 2014, 54 min
Cinq femmes ont résisté, chacune à sa manière, au père, aux maris, à la religion, aux préjugés, afin d’être des femmes libres et de trouver leur place dans la société française.
Mercredi 13 décembre 2017 20 heures
Lors du débat, Yesmina Remillet partagera son expérience de vie pour prolonger ce débat et déboucher sur ce maillon fort du changement social qu'est le féminisme. « Cinq sœurs : Aïcha, Malika, Rachida, Horia et moi, Alima. Nous avons entre 50 et 60 ans. Nous sommes les filles de Bakhta et Abdenbi, qui ont quitté l’Algérie pour la France, en 1948. Mes sœurs et moi faisons partie de cette génération qui a lutté pour pouvoir travailler, qui a décidé avec qui elle voulait vivre, avoir ou non des enfants, avoir le droit au plaisir, à une sexualité libre… À travers ce documentaire, mes sœurs me racontent comment elles ont résisté, chacune à sa manière, au père, aux maris, à la religion, aux préjugés, afin d’être des femmes libres et de trouver leur place dans la société française.» Alima Arouali Lieu : Usine de la Redonne http://www.usinedelaredonne.org/ Associations impliquées : Usine de la Redonne, AMAP du Flayosquet – ATTAC – RTM - CADAC > Ciné débat adapté aux adultes comme aux adolescents suivi suivi d'une soupe partagée> Prix: libre participation à l'accueil > COLLECTE D'ALIMENTS NON PERISSABLES POUR LES MIGRANTS > Contact : 06 46 00 07 55 - rtm@ritimo.org
France info, chien de garde, me reproche de n’avoir rien dit sur le décès de Johnny. Contrairement à ce journalisme de révérences, je ne parle pas pour ne rien dire. J’ai diffusé ce document en vidéo. Mais comme c’est plus de 140 signes, c’est en effet trop pour le cerveau d’un médiacrate de France info. Et puis comme c’est humble, les pavloviens de la haine de la France insoumise continuent leurs guerres jusque dans les cimetières. Voici ce que j’ai dit :
" Les amis, aujourd’hui, partout, sur tous les tons, toutes les chaînes, toutes les radios, toutes les télés, tous les cailloux, tous les ombrages, tous les plumages, il n’est question que du décès de Johnny Hallyday.
Alors on me regarde, on me dit : « Tu vas dire quelque chose ? ». Mais pourquoi je vais dire quelque chose ? Quelle importance j’ai là-dedans ? Aucune. Il y a deux jours, c’est Jean d’Ormesson qui est mort, bon, je l’ai connu, j’ai eu le bonheur de discussions avec lui, on était d’accord sur rien, ça tombe bien, mais il avait une manière charmante et humoristique de prendre les questions, et comme moi je répondais aussi sur le terrain de l’humour, on s’est plutôt bien entendus, du peu qu’on s’est vus. Et quand il est disparu, je me suis dit : « Mince ! » Comme on se dit, des fois : « Mince, j’ai oublié, j’aurais dû aller le voir, j’aurais dû aller le voir avant… ». Bon, voilà… C’est comme ça.
Mais alors sur Johnny, qu’est-ce que vous voulez que je dise, moi ? Quand on fait une notice nécrologique, quand on parle de quelqu’un qui est mort, c’est soit pour dire : « Attention, les gens, c’était quelqu’un d’important, parce qu’il a écrit ceci, il a écrit cela ». Bon, d’accord ? Et c’est une manière de signaler aux gens l’importance de quelqu’un qui disparaît. Mais là, Johnny Hallyday, il n’a pas besoin de moi pour qu’on sache qu’il chantait des chansons qui ont marqué son époque, son temps, et tout ça. Voilà.
Donc moi je n’ai rien à dire sur le sujet. Et je crois qu’on en est tous là. Enfin en tout cas, moi je n’ai pas plus à dire que n’importe qui qui est en train de me regarder. Dans ceux qui me regardent, il y a ceux qui n’ont jamais écouté Johnny, ça doit exister ; il y a ceux qui ne l’aimaient pas, c’est normal parce que tout créateur, tout artiste a aussi des gens qui l’aiment pas ; et puis il y a les gens qui l’ont aimé.
Alors c’est ça qui est intéressant : ils l’aiment pour la musique, pour le personnage, pour la manière d’incarner des textes et puis ils l’aiment surtout par rapport à eux parce que celui qui a été amoureux une seule fois sur la musique de Johnny, il ne l’oublie pas plus qu’il n’oubliera son amour. En tout cas moi je comprends qu’il y ait plein de gens à qui ça fasse du chagrin. Pourtant ils ne le connaissent pas, ils ne lui ont jamais parlé, ils n’ont fait qu’écouter sa musique. Mais c’est un chagrin qu’on a sur la vie qui passe, sur la vanité des choses, sur tout ce qui dans notre propre existence personnelle a pu entrer en résonance avec les autres grâce à une musique ou une chanson."
"L'insoumis" En avant-première En présence de Gilles Perret
Vendredi 15 décembre à 20h CINE-BLEU - LORGUES
Avec ses hauts, ses bas, sa tendresse, son humour et parfois sa virulence, Jean-Luc Mélenchon est un vrai personnage de film. Qu’il soit haï ou adulé, il ne laisse personne indifférent, et tout le monde -ou presque- s’accorde à lui prêter des qualités Intellectuelles brillantes. Sa campagne présidentielle de 2017 n’a ressemblé à aucune autre dans le paysage politique contemporain. C’est durant ces moments intenses de sa vie, et de ceux de la France, que Gilles Perret l’a accompagné au plus près. Une période propice à la découverte des cotés moins connus d’une personne indissociable de sa pensée politique.
Cher-e-s ami-e-s, C'est parti pour les avant-premières de "L'insoumis"! Les séances sont bien remplies. C'est bon signe pour un film dont peu de gens ont entendu parler. Pour l'instant le public est principalement composé d'électeurs de Jean-Luc Mélenchon. Cependant, il y a environ 10% des spectateurs qui n'ont pas voté pour lui et qui viennent par curiosité cinématographique (et oui, je fais des sondages à mains levées). 10%, c'est un bon début... Les retours des exploitants de salles de cinéma nous font plaisir. Leurs inquiétudes quant à ce que "L'insoumis" soit un film hagiographique sont dissipées et ils y voient une œuvre humaine, respectueuse et sincère. La tournée d'avant-premières va se poursuivre aux 4 coins de la France jusqu'à la date de la sortie nationale du film, c'est à dire le 21 février. C'est important qu'il y ait un maximum de spectateurs qui le voient et qui en parlent autour d'eux. Cela permettra de détendre l'atmosphère qui règne, ou qui est entretenue, autour de la sortie de "L'insoumis".
Pour suivre l'actualité du film ainsi que trouver les dates des avant-premières, rejoignez nous sur la page facebook du film : https://www.facebook.com/filmlinsoumis/ Et sur ma page personnelle: https://www.facebook.com/GillesPerret68/
A très bientôt. Gilles Perret et l'équipe qui m'entoure.
AVANT - PREMIERES DE DECEMBRE
Le 1 er NANTES, le 5 LYON, le 7 VALENCE, le 8 GRENOBLE, le 9 ANNEMASSE , le 10 MEYTHET, le 11 UGINE, le 13 TOULON, le ANTIBES, le 15 LORGUES, le 20 SALLANCHES, le 21 THONON
Plus d'informations sur : www.linsoumis.org
Samedi 9 décembre 2017---------------------------------------- BAL D'HIVER SOLIDAIRE à l'Usine de la Redonne
----------------------------------------
avec “Les Chapeaux” (accordéon chromatique,batterie,cornemuse,flûtes,
guitares,piano,percussions,violon)
19h30 Repas tiré des sacs 20h30 à 23h BALETI (parquet, salle chauffée)
-----------------------------------------soutenu par Migrants Var Est
ENTREE 5 € Au profit de Roya citoyenne, Migrants Var Est * Collecte de denrées alimentaires peu périssables * Vente de badges et d'écharpes solidaires * Animation surprise durant le repas * Soupe * Bar
CONFÉRENCE DE PRESSE PUBLIQUE aux Arcs jeudi 7/12 à 10h place du Général de Gaulle (Marché)
Présentation de la situation des migrants accueillis aux Arcs(certains seront présents) et de l’implication des associations et des militants du secteur qui pallient les déficiences de l’Etat et des services publics dans de nombreux domaines pour l’accueil des migrants et des demandeurs d’asile
& Collectif SOLIDAIRES Les ARCS
DES MIGRANTS
AUX ARCS SUR ARGENS
POURQUOI ?
Ils ont fui, au péril leur vie, un pays dévasté à cause des crises économiques, de la géopolitique des guerres. Ils demandent le droit d’asile, conformément aux textes signés par notre pays.
COMBIEN ? DEPUIS QUAND ?
Depuis le printemps 2017, une trentaine de mineurs et des familles sont accueillis aux Arcs.
QUI FAIT QUOI ?
Un collectif « Solidaires les Arcs » s’est créé. Il aide moralement et matériellement les réfugiés : réconfort, nourriture, vêtements, démarches administratives, cours de Français, aide à la scolarisation des enfants (merci à la Mairie et aux écoles pour leur participation active).
Les services de l’Etat assurentla réalité de l’hébergement et l’inscription aux différents services sociaux et administratifs.
Le 7 décembre 2017, Le Collectif solidaire Les Arcs-Sur-Argens, soutenus par Migrants Var Est et le Collectif Migrants 83 avec la Ligue des Droits de l’Homme, le mouvement Utopia ,Ensemble Le Luc, RTM, le Comité 1905, Sud Solidaires, Ensemble le Luc, Attac… DOMINIQUE FALUOMI 06 62 55 44 62
SI VOUS AVEZ UNE CAMERA NUMÉRIQUE POUVEZ-VOUS l’APPORTER ?
Reprise de l'article de Catherine après remise en forme (Didier)
Cher ami, chère amie,
Tout d’abord, merci de votre mobilisation à nos côtés pour faire vivre la solidarité internationale. Grâce à vous, ce sont plus de 5 000 interpellations qui ont été envoyées aux député-e-s, représentant 58 % de l’Assemblée nationale pour leur demander d’augmenter l’aide au développement (APD) dans le budget 2018.
Aujourd’hui, ce budget est passé au Sénat, sur lequel nous avons fait pression via Twitter. Malheureusement, la majorité des parlementaires n’a pas entendu notre appel, et nos amendements en faveur d’une taxe sur les transactions financières solidaire ont été rejetés.
Mais nous ne perdons pas espoir. Le sort de l’APD est maintenant entre les mains du gouvernement qui peut, via un amendement, rouvrir le débat sur cette question cruciale. Sur le site mercidavance.org, vous pourrez interpeller vos député-e-s pour qu’ils et elles demandent au gouvernement la possibilité de débattre à nouveau sur le montant de l’APD.
Emmanuel Macron s’est rendu mardi à Ouagadougou pour prononcer un discours sur sa politique africaine, puis il a participé au sommet UE / Afrique. Nous nous mobilisons pour qu’il n’oublie pas les thématiques de solidarité internationale pendant ses interventions en l’interpellant via Twitter – vous aussi, demandez à Emmanuel Macron d’agir pour l’aide au développement !
Grâce à vous, nous avons mis la solidarité internationale au cœur du débat politique. Continuons sur cette lancée pour faire en sorte que la France tienne son engagement d’affecter 0,7 % de sa richesse à l’aide publique au développement.
Merci (d'avance) pour votre engagement,
Camille Simonet,
Chargée de communication et de mobilisation en ligne