"Nous
avons un emploi aidé, le cuisinier, qui prépare entre 100 et 120 repas
chauds par jour dans notre centre de Grenoble", indique Brigitte Cotte.
"Notre salarié en contrat aidé a terminé sa mission et va sur d’autres
projets. Quand on a voulu recruter un autre salarié en contrat aidé, on
nous a répondu qu’il n’y avait plus de budget", regrette la présidente
des Restos du Coeur de l'Isère.
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