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- Voici une première série de 20 candidat·e·s de la liste de la France insoumise aux élections européennes !
- Vingt candidats seront présentés vendredi 30, vingt autre mercredi 5 décembre, puis les 19 premiers seront connus lors de la convention nationale à Bordeaux les 8 et 9 décembre. La France insoumise sera alors en ordre de marche !
Une première série de 20 candidat·e·s de la liste de la France insoumise aux élections européennes !
dans À la une, A la Une - Européennes 2019
Conformément aux annonces du Comité électoral, retrouvez dans cet article une première série de 20 candidat·e·s de la liste de la France insoumise aux élections européennes de 2019.
Découvrez les 6 nouvelles candidatures !
J’ai 26 ans et j’ai toujours été très engagée politiquement. J’ai commencé avec les mouvements lycéens, puis à l’université en me révoltant contre les inégalités sociales.
J’ai suivi un enseignement public, dans des établissements difficiles et j’ai réalisé mes études en communication en apprentissage à l’Éducation Nationale, en Ile-de-France où j’ai porté un projet de concours d’arts appliqués afin de valoriser les filières professionnelles artistiques dans les lycées du 93.
Je suis engagée en politique au sein de la France insoumise dans nos groupes d’actions locaux, mais aussi au niveau de l’environnement avec Alternatiba.
Je mène personnellement des projets culturels, pour valoriser la culture urbaine et mettre en valeur les artistes de rue.
A présent, j’ai terminé mes études et je suis toujours précaire (chômage, CDD, payé au SMIC avec Bac+3…).
Mes urgences sont donc celles de la jeunesse (emploi, éducation, environnement, accès à la culture).
Je m’appelle Christine Piguel-Coutard, j’ai 62 ans et je travaille à la Direction Départementale des Finances Publiques du Morbihan. Je suis née à Nantes et vis à Vannes depuis 15 ans.
J’ai commencé à militer en 2005 pour le Non au Traité Constitutionnel Européen auprès de l’association ATTAC puis d’un « collectif anti-libéral » à Vannes.
Après quelques années passées auprès du Mouvement des Objecteurs de croissance, j’ai adhéré au Parti de Gauche et participé localement aux élections électorales du « Front de Gauche ».
Je suis militante syndicale et membre du bureau départemental de Solidaires Finances Publiques dans lequel je m’investis pour la défense des services publiques.
Mon engagement principal touche la défense du climat et l’agriculture biologique et paysanne. J’ai organisé des « vélorutions » pendant une année sur la ville de Vannes afin de promouvoir les déplacements doux. J’ai créé 2 AMAP afin de favoriser l’installation de 2 jeunes agriculteurs en bio.
Actuellement, je suis engagée auprès de militantes et militants d’associations laïques, de syndicats et d’organisations politiques sur la question de la laïcité : « Ne touchez pas à la loi de 1905 » suite à l’initiative nationale de la Libre Pensée.
Née en 1968, maman de deux enfants, j’ai obtenu un diplôme de stylisme et bien des années plus tard, celui d’éducatrice technique spécialisée.
Après avoir vécu en Italie, puis en Angleterre, je suis restée à Paris où j’ai travaillé pour plusieurs enseignes dans le secteur commercial. Après une période de chômage, j’ai trouvé un emploi en Normandie de monitrice d’atelier culinaire pour jeunes en situation de handicap. À la limite du burn-out, nous avons convenu d’une rupture conventionnelle après douze années au sein de l’association.
Aujourd’hui, je suis militante écologiste en reconversion professionnelle (un projet d’habitation bio devrait voir le jour) avec mon conjoint.
Très sensible à l’état de notre planète, mon engagement ne cesse de grandir. En 2016, j’organisais sous l’égide des sciences au Havre la première Marche pour sensibiliser les citoyens à l’urgence climatique. A l’époque 17 villes françaises avaient participé.
Plus récemment, j’ai organisé les marches pour le climat du 8 septembre, du 13 octobre et du 8 décembre.
En février 2018, j’ai créé l’association « L’abeille Écolo » et initié son premier événement où une petite quarantaine d’intervenants étaient réunis, dont des associations comme Greenpeace, L214… L’idée étant de sensibiliser un maximum de personnes à l’écologie et au changement climatique. Le prochain évènement est prévu en mars 2019.
Mon engagement ? Défendre l’humain et notre belle Planète, et non un système capitaliste qui n’a plus de sens mais un monde de « Paix » !
Mon engagement citoyen et politique remonte à mon adolescence. Je suis comme ce « vilain » gaulois d’Asterix, je suis tombé dans la marmite dès mon adolescence contre la loi sur l’éducation du ministre Haby.
Puis ensuite dans ma vie professionnelle avec le Syndicat Français des Artistes (CGT) mais également à la FCPE, à la Ligue de l’enseignement, sans parler de mes engagements associatifs dans les domaines de la culture et du sport. C’est donc fort logiquement que je me suis retrouvé élu à Alençon comme conseiller municipal et communautaire en 1995.
Je suis actuellement adjoint au Maire de Commensacq (Landes) et je siège dans plusieurs commissions du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. C’est un moment particulier d’être candidat, c’est l’occasion de renouer le dialogue avec celles et ceux qui depuis quelques semaines ne se résignent pas devant l’injustice des politiques de régression écologique, économique, sociale et culturelle pour les peuples européens.
Pour lutter contre l’asservissement de l’art à la finance. Parce que c’est dans ce que l’on appelle l’entreprise de culture que se façonne la langue de la domination, le langage du « spectaculaire » et des divertissements qui sont essentiels à l’absence de pensée ou au prêt à penser dans quoi on veut plonger nos contemporains. Nous sommes à un carrefour. Nous vivons une faillite à l’époque où nous devrions vivre une renaissance. Soyons debout poétiquement et politiquement avec vitalité, même si elle est désespérée, dirait Pasolini. N’ayons pas de retard d’avenir.
Parce que le théâtre n’est pas le résultat, mais constitutif de la démocratie.
Parce que personne ne peut regarder une œuvre d’art sans se sentir plus libre.
Parce que la démocratie ce n’est pas les autres c’est toi.
Parce que l’art est un levier contre l’indifférence.
Parce que la multiplication des langues est notre garantie contre la barbarie.
Parce que « Nous n’avons rien fait pour qu’il n’y ait pas de fascistes. Nous les avons seulement condamnés, en flattant notre conscience avec notre indignation, plus forte et impertinente était notre indignation, plus tranquille était notre conscience » Pier Paolo Pasolini
Si nous pouvons grâce à l’art faire l’expérience de quelque chose, alors il nous est peut-être possible de modifier notre avenir, car l’expérience grave des leçons dans nos cœurs grâce à la souffrance, alors que réfléchir nous laisse intacts… Il est crucial d’enregistrer et de confier à la mémoire des événements jamais vécus – afin d’éviter qu’ils se produisent.
Penser est un élément moteur d’un être humain car cela lui permet d’entrevoir son devenir révolutionnaire…
On ne sortira pas du mode social de production capitaliste sans en décomposer en nous le langage. Il ne s’agit donc pas de sortir du capitalisme, il s’agit que le capitalisme sorte de nous.
Anthony Gratacos, Moussy-le-Neuf, 33 ans, marié, 2 enfants mais bientôt 3. Né à Meaux, je suis conseiller municipal d’opposition dans l’un de ces territoires péri-urbain qui subissent de plein fouet les conséquences du désengagement de la puissance publique et les mutations de notre économie.
Mon premier combat politique, je le mène en 2002 suite à l’élection présidentielle, contre l’extrême droite. De nombreuses autres mobilisations suivirent (CPE, autonomie des universités, …). En 2016, c’est contre la casse du code du travail que je me suis battu en animant un groupe de chefs d’entreprise contre la loi travail. Patron d’une entreprise de 21 salariés implantée sur la plateforme aéroportuaire de Roissy, je suis convaincu que le droit du travail, les cotisations sociales, … ne sont pas un frein à l’activité mais un garde fou qui protège nos entreprises, les salariés et l’économie. C’est sur ces sujets mais aussi sur les questions fiscales que je souhaite m’impliquer lors de la campagne.
Militant socialiste depuis 2003, j’ai fait le choix il y a quelques mois de suivre Emmanuel MAUREL dans sa démarche au sein d’APRÈS afin de construire, ensemble, le front populaire du XXième siècle.
Mon premier combat politique, je le mène en 2002 suite à l’élection présidentielle, contre l’extrême droite. De nombreuses autres mobilisations suivirent (CPE, autonomie des universités, …). En 2016, c’est contre la casse du code du travail que je me suis battu en animant un groupe de chefs d’entreprise contre la loi travail. Patron d’une entreprise de 21 salariés implantée sur la plateforme aéroportuaire de Roissy, je suis convaincu que le droit du travail, les cotisations sociales, … ne sont pas un frein à l’activité mais un garde fou qui protège nos entreprises, les salariés et l’économie. C’est sur ces sujets mais aussi sur les questions fiscales que je souhaite m’impliquer lors de la campagne.
Militant socialiste depuis 2003, j’ai fait le choix il y a quelques mois de suivre Emmanuel MAUREL dans sa démarche au sein d’APRÈS afin de construire, ensemble, le front populaire du XXième siècle.